lundi 14 novembre 2016

Réactions à l’élection de Trump : les bons, les brutes et les truands....


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Un ami démocrate pour qui j’ai beaucoup d’affection me disait après l’élection : « je suis démoralisé, mais je suis un bon Américain et Trump est mon président, j’espère qu’il va réussir, car toute l’Amérique en bénéficiera. »

Les bons démocrates

Les bons démocrates existent, je les ai rencontrés. Ils comprennent les aspects humains de la victoire de Trump. Ils ne considèrent pas que les électeurs de Trump sont des bas du front, des racistes, des xénophobes. Ils ne se considèrent pas supérieurs aux électeurs de Trump. Ils comprennent que si Trump réussit son pari, c’est toute l’Amérique qui gagnera, même s’ils ne pensent pas qu’il mettra à exécution tout son programme.

Les truands

D’autres, les truands, voient la dimension politique de la réussite de Trump. Si Trump gagne son pari, il redresse l’économie, il améliore le sort des quartiers noirs défavorisés, il s’occupe des classes sociales oubliées — ou méprisées — par l’administration Obama, il assure l’indépendance énergétique du pays, il incite les entreprises à revenir s’installer sur le sol américain et créer des millions d’emplois perdus, il améliore le niveau de vie de la classe moyenne. Mais eux, les truands, ils perdent tout.
Harry Reid, grande figure démocrate, et ex-leader du parti démocrate au Sénat, fait partie de cette catégorie de truands.
  • Il refuse la victoire de Trump alors qu’il a tapé du poing pour exiger que Trump reconnaisse celle de Clinton si elle gagnait.
  • il refuse la proposition de Trump, exprimée lors de son discours d’acceptation, d’unifier le pays et de réduire les divisions parce qu’il ne veut pas que Trump sauve le pays.
En France, vos médias entrent aussi dans cette catégorie.
Vos journalistes sont tellement jaloux des succès de l’Amérique, ils sont tellement frustrés, que leur pire cauchemar serait que Trump réussisse à faire retrouver sa grandeur à l’Amérique.
Leur idéologie est si cancérigène qu’ils préfèrent voir les morts sur le bord des routes pour prouver qu’ils ont raison, que des gens heureux qui leur donnent tort.
Regarder la haine et la folie sur le visage de vos journalistes : ils veulent le chaos. Ils veulent que Trump échoue. Que l’Amérique s’enflamme. Que les noirs soient plus pauvres, plus drogués, plus déchiquetés par le cycle de la violence, des gangs, de la drogue et des familles uniparentales de filles-mères abandonnées. Ils veulent voir les villes gangrenées par la drogue, les chômeurs faire la manche, les pauvres plus pauvres, les mendiants plus mendiants.
Ils veulent des images de malades qui crèvent devant les hôpitaux aux portes cadenassées pour pouvoir dire que Trump est un monstre. Des attentats islamistes mortels, simplement pour redorer leur blason et satisfaire leur désir de revanche.

Et puis il y a les brutes

Financés par George Soros, des groupes communistes ont organisé des émeutes violentes à Chicago, Portland, New York, Washington, San Francisco, Oakland, etc. Ils cassent les vitrines des petits commerces, vandalisent et volent les marchandises, brûlent des voitures, tirent sur la foule, agressent les policiers — et l’on peine à comprendre en quoi ceci sert une cause politique — et ni le parti démocrate, ni Hillary Clinton, ni celui qui devrait s’occuper de diriger son pays, Barack Obama, ne les appelle au calme.
Ces organisations communistes qui sèment la violence refusent la démocratie, refusent la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes, refusent le processus électoral, et réclament la dictature communiste par la lutte. Et bien entendu, elles sont toutes antisémites, anti-israéliennes, pro-terroristes du Hamas et pro organisations communistes révolutionnaires d’Amérique latine.
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Elles s’appellent :
  • Progress Unity Fund, dont la mission officielle est « d’apporter des solutions alternatives et progressistes aux organisations caritatives, » selon ses statuts.
  • Act Now To Stop War & End Racism (ANSWER), un groupe d’anarchistes violents qui ont commencé à organiser des « protestations d’urgence » immédiatement après l’élection de Trump. Dans un message, ANSWER appelle à « se mobiliser partout dans le pays pour organiser et prendre part à des actions d’urgence. »
  • MoveOn.org, un autre groupe d’activistes financé par l’Open Society Foundations de George Soros, a publié sur sa page Facebook qu’il organisait « des réunions pacifiques de résistance partout dans le pays » à partir de mercredi soir. Ils ont brûlé le drapeau américain, écrit des graffitis sur les murs, détruit des abribus, des panneaux publicitaires, cassé des vitrines, bloqué les routes. Les réunions n’étaient finalement pas si pacifiques…
Songez. Donald Trump a été élu, il a mis sur pied son équipe, il a préparé un plan pour les 100 premiers jours. Il a annoncé ses premières mesures, dont je vous parlerai, car j’imagine que mes confrères vont encore dire qu’on ne connaît pas son programme.
N’est-ce pas le moment de rire des roquets frustrés aboyant alors que la caravane Trump passe ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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