La Suède peut sombrer dans une crise, un nouveau rapport suggère que 80% des agents de police envisagent de changer de carrière en raison du danger qu'ils rencontrent.
La situation criminelle en Suède peut prendre une tournure encore plus mauvaise. Comme l'a démontré un nouveau rapport, la grande majorité des forces de police suédoise est tellement insatisfaite que les policiers sont à la recherche d'autres orientations professionnelles. La Suède a été secouée par l'augmentation des niveaux de criminalité dans différents domaines: les attaques sexuelles lors des festivals de musique, les attaques à la grenade et la violence envers la police dans les zones peuplées principalement par des migrants.
Le rapport indique que jusqu'à trois policiers suédois démissionnent chaque jour car ils estiment que le gouvernement ne leur donne pas les outils nécessaires pour lutter contre l'épidémie de criminalité rapporte le média norvégien NRK.
Le sergent de police suédoise Peter Larsson explique au diffuseur NRK le défi des autorités suédoises qui doivent faire face à un nombre toujours plus réduit de policiers, déclarant «Nous avons une crise majeure. De nombreux collègues ont choisi de démissionner. Nous ne serons plus en mesure d'enquêter sur les crimes, nous n'avons pas le temps d'aller sur les lieux et faire ce que nous sommes censés faire. Un environnement de travail dégradé signifie que beaucoup de collègues sont à présent à la recherche d'un autre travail."
Larsson pointe expressément la violence contre les employés des services d'urgence en déclarant : «La violence contre la police, les ambulanciers et les pompiers, est devenue bien pire. Nous parlons de jets de pierres, de violence, d'incendies. Cela est devenu bien pire ces dernières années ".
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Une grande partie des crimes en Suède est liée à des banlieues spécifiques dans les grandes villes comme Stockholm et Göteborg qui, généralement, ont également une forte population de migrants. Les banlieues comme Rinkeby à Stockholm sont devenues particulièrement célèbres, les résidents attaquant les journalistes à plus d'une occasion.
Les policiers suédois ont estimé à un total de 14 zones interdites dans lesquelles ils s'aventurent rarement en dehors de leurs postes de police fortifiés, de peur d'être attaqués par la population locale.
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Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

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