lundi 1 août 2016

Merci aux Musulmans, les crimes liés au terrorisme en hausse au Canada.........


Il ne faut pas espérer que les Musulmans, s’ils émigrent au Canada, s’intègrent facilement, « en dépit du froid ».

Selon l’agence fédérale Statistique Canada, il y a eu 173 « affaires criminelles » en lien avec des actes terroristes en 2015 au pays. Le chiffre frappe d’autant plus qu’il s’agit d’une hausse de 126 % entre 2014 et 2015, a calculé Statistique Canada, en se basant sur les crimes déclarés par la police.

Selon les méthodes de l’agence, une « affaire criminelle » peut comprendre plusieurs infractions terroristes. Ces statistiques compilent donc une série d’infractions telles que la participation à un groupe terroriste, la tentative de quitter le Canada pour rejoindre un groupe terroriste outremer, le financement du terrorisme ou le fait d’héberger un terroriste. Elles ne visent toutefois pas les attentats par fusillade ou l’explosion de bombes ayant causé la mort. Ces crimes sont alors calculés avec les autres homicides, souligne Statistique Canada.

L’islamic Supreme Council of Canada (ISCC) et le Muslim Association of Canada (MAC) n’ont pas encore commenté ces chiffres politiquement incorrects.

Le Canada est le foyer de plus d’un million de musulmans qui jouissent pourtant d’une liberté de culte totale, avec plus de 1 000 mosquées et plus de 700 écoles islamiques à travers le pays.

Les deux Provinces les plus peuplées par les Musulmans sont les plus touchés par les crimes liées au terrorisme (Ontario et Québec).

L’Ontario est la province où le plus grand nombre d’affaires criminelles en lien avec le terrorisme sont survenus, soit 60 en 2015, suivie par la Colombie-Britannique, avec 36, et le Québec, avec 30. Aucune infraction de terrorisme n’a été signalée en 2015 à l’Île-du-Prince-Édouard, au Yukon, au Nunavut, ni dans les Territoires-du-Nord-Ouest.

En 2014, 76 affaires terroristes ont été compilées en Ontario dans cette province anglophone qui compte des centaines de partisans d’Al-Qaida et de l’État islamique.

L’expert canadien Stéphane Leman-Langlois, professeur de l’École de service social de l’Université Laval et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en surveillance et construction sociale du risque, est d’avis que le facteur principal qui a contribué à l’augmentation des chiffres est lié à la vague de jeunes qui ont cherché à quitter le pays pour aller rejoindre les rangs des combattants étrangers en Irak et en Syrie.

Au Québec, plusieurs étudiants musulmans du Collège de Maisonneuve de Montréal ont été arrêtés à l’aéroport en 2015. L’établissement était aussi fréquenté par Sabrine Djermane et El Mahdi Jamali, qui ont notamment été accusés la même année d’avoir voulu quitter le pays pour commettre un acte terroriste à l’étranger.

Le Canada, impuissant face aux activités des musulmans radicalisés sur le territoire

À bout de souffle, la police fédérale écrit que le statu quo «n’est pas viable»

Débordée par l’ampleur de la lutte contre le terrorisme islamique, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) constate que ses ressources policières sont «insuffisantes» pour la tâche. C’est le cri d’alarme lancé par la GRC dans son rapport annuel 2016-2017 sur ses plans et priorités, qu’elle a déposé au ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, au début de mars 2016.

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À bout de souffle, la police fédérale écrit que le statu quo «n’est pas viable», laissant clairement entendre qu’elle a besoin d’effectifs et de budgets additionnels pour remplir sa mission.

«Le nombre accru de dossiers liés au terrorisme, amplifiés par leur portée internationale et le risque potentiel sur la sécurité du public, a donné lieu à un besoin d’efforts d’enquête considérables», fait valoir le rapport de 114 pages présenté par le commissaire Bob Paulson.

La GRC dit avoir réaffecté à la lutte antiterroriste «plus de 600» policiers qui enquêtaient auparavant sur le crime organisé, le trafic de stupéfiants et la criminalité financière, depuis les attentats d’octobre 2014 à Saint-Jean-sur-Richelieu et à Ottawa.

Ce redéploiement à l’échelle du pays toucherait encore plus les provinces à forte concentration musulmane l’Ontario et le Québec. La GRC a dû retirer ses effectifs des escouades régionales mixtes de lutte contre le crime organisé, au Québec, pour les transférer aux enquêtes sur la sécurité nationale.

«Toutefois, ces ressources redéployées demeurent insuffisantes, sans compter que cela laisse un nombre limité d’employés à affecter aux enquêtes sur le crime organisé et les crimes graves», prévient la GRC.

«À moyen et à long terme, cette cadence opérationnelle n’est pas viable et devra être corrigée au cours des années à venir», poursuit la GRC.

Le nombre d’opérations d’écoute électronique et de surveillance antiterroristes a notamment explosé, passant de 3 en 2011, à 40 en 2014. Ces opérations coûtent «plusieurs millions de dollars», selon l’ex-patron de la GRC au Québec, Pierre-Yves Bourduas.

Non seulement les islamistes progressent lentement mais surement au Canada, mais ils vérolent aussi ce grand et beau pays, tout comme ils l’ont déjà fait en France et partout en Europe de l’Ouest.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Souhail Ftouh pour Dreuz.info.

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