Les squatters arabes n’ont aucune légitimité à occuper la terre juive de Judée-Samarie et ils le savent pertinemment.
Leur lutte, parfaitement manipulée, n’a aucune motivation rationnelle et ils ne peuvent que s’enfermer dans leur folie délirante. Quels principes de tolérance et de paix pourrait-on inculquer à des fous se revendiquant d’un peuple qui n’a jamais existé ?
Plus de 80% des gens qui se disent « palestiniens » ne sont en réalité que des squatters arabes de la Terre Juive, et n’y ont par conséquent aucune légitimité, jusqu’à preuve du contraire.
Quand Léon Pinsker a écrit en 1882 Auto-Emancipation…
*, qui a déclenché la première alyah, il n’y avait pas 500.000 habitants sur ces terres désertiques, Transjordanie comprise !
Avez-vous vu les juifs, pourtant présents au Maghreb Central depuis le départ d’Espagne de 1391, revendiquer un droit quelconque sur l’Algérie en 1962 ?
Les squatters arabes de Judée-Sammarie sont très improductifs. Ils sont un fardeau pour les juifs.
Ils sont maintenus par une assistance internationale, aidés et soutenus par des pays européens qui voient là un moyen subtil de déstabiliser l’Etat juif et de défouler leur antisémitisme ancestral. C’est dans la continuité de cette politique que la presse européenne et des pays arabes stigmatisent les juifs, comme au Moyen-Âge.
Pinsker, en 1992 : « C’est principalement dans la presse, qui pourtant passe pour représenter l’intelligence, que nous avons rencontré nos adversaires les plus enragés »
Pinsker, en 1992 : « C’est principalement dans la presse, qui pourtant passe pour représenter l’intelligence, que nous avons rencontré nos adversaires les plus enragés »
L’Europe antisémite ne veut pas que les juifs vivent tranquilles en Israël.
En 1882, Pinsker écrivait (déjà) : « nous n’y pouvons rien et il ne faut pas incriminer non plus le niveau culturel insuffisant des populations européennes, car c’est principalement dans la presse, qui pourtant passe pour représenter l’intelligence, que nous avons rencontré nos adversaires les plus enragés. Notre devoir n’étant pas de corriger le genre humain, occupons-nous de prendre les choses comme elles sont et de régler, en conséquence notre conduite. »
Ni la création d’un enième état arabe, ni la conclusion d’un enième accord de paix, ne permettront de régler le problème de ces squatters arabes, qui sont en réalité un abcès de fixation maintenu par des puissances étrangères hostiles.
La solution est évidente : leur expulsion de Judée-Samarie, et hormis les juifs, cette obligation de libérer la terre Juive ne lie personne.
Pourquoi ne pas créer un état « palestinien » en Ouganda ou dans le Biro-Bidjan ?
Pinsker pensait comme moi quand il écrivait en 1882 :
« Sans reconnaître entièrement la vérité il ne nous sera jamais possible de comprendre notre condition, ni de la corriger d’une manière satisfaisante. Et quoi de plus attristant que de nous dérober sur le plan pratique aux leçons de l’expérience !…
Du moment que nous ne sommes nulle part chez nous, il nous faut enfin posséder une patrie… un refuge assuré, incontesté, inviolable et fertile ».
Or, même en Israël nous ne serions pas chez nous et devrions subir les crimes des squatters arabes.
Les dirigeants israéliens devraient comprendre leur obligation de délivrer les juifs de l’infamie de la persécution multimillénaire. La renaissance nationale juive, entreprise depuis plus d’un siècle, est une oeuvre sacrée.
Il semble que des juifs en aient plus qu’assez de subir les crimes des squatters arabes et entreprennent des actions violentes pour les expulser de force.
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