Oui, il a dit ça.
C’est ainsi que le président Obama a décrit l’attaque terroriste de Paris contre des Juifs français dans un supermarché casher …
« Il est tout à fait légitime que le peuple américain soit profondément préoccupé quand vous avez une bande de fanatiques, violents, vicieux et autonomes [sans attaches religieuses] qui décapitent des individus ou tirent au hasard sur un tas de gens dans une épicerie à Paris. »
Tout est dû au hasard … Selon lui, c’est juste le hasard si ces francs-tireurs, fanatiques incontrôlables sans foi, ni loi ont choisi une cible juive.
Et surtout, pas question de faire la moindre allusion à «l’Islam radical»
‘Si ça saigne, ça prime’ : Obama estime que les Média ‘surévaluent’ la menace terroriste.
Le président Obama a décrit l’attaque terroriste contre une épicerie casher juive de Paris comme le fruit du hasard dans une interview avec Vox.com. Le président n’a pas utilisé le mot «juif» ou «casher» pour décrire la cible de l’attaque par des extrémistes islamiques.
Il a dit : « Il est tout à fait légitime que le peuple américain soit profondément préoccupé quand vous avez une bande de fanatiques violents, vicieux et autonomes [sans attaches religieuses], qui décapitent des individus ou tirent au hasard sur un tas de gens dans une épicerie à Paris. »
Il a dit : « Il est tout à fait légitime que le peuple américain soit profondément préoccupé quand vous avez une bande de fanatiques violents, vicieux et autonomes [sans attaches religieuses], qui décapitent des individus ou tirent au hasard sur un tas de gens dans une épicerie à Paris. »
Cette omission intentionnelle n’est ni accidentelle, ni le fruit du hasard, à moins que nous voulions croire que le président a fait un « dérapage verbal » sur un élément crucial de l’affaire. Les islamistes se sont toujours vantés de cibler des Juifs et ils ont commis de nombreux attentats contre des Juifs dans le monde entier. L’attaque terroriste en France est consécutive à l’attaque d’islamistes contre les journalistes de Charlie Hebdo à Paris, qui avaient dessiné des caricatures satiriques de Mahomet.
Pourquoi le président a-t-il évité intentionnellement d’évoquer la foi juive des victimes? Pourquoi a-t-il évité de mentionner la foi des meurtriers? Faut-il comparer le Jihad islamique à la violence de rue aléatoire d’une ville américaine?
Après que le président Barack Obama se soit assis avec le rédacteur en chef de Vox, Ezra Klein pour discuter de la politique intérieure, y compris de la «balkanisation» des médias, il est passé à la politique étrangère avec le directeur Matt Yglesias. Cette fois, lors d’une question sur la façon dont les médias couvrent le terrorisme, le président a insisté sur la façon dont la guerre en Irak a affecté notre sécurité nationale sur notre sol.
Yglesias a demandé à Obama s’il pensait que les médias «exagéraient parfois le niveau d’alerte que les gens devrait avoir à propos du terrorisme», par opposition à des problèmes à plus long terme comme le changement climatique et les épidémies.
«Absolument», le président a répondu, qu’il ne blâmait pas la presse de faire sien le vieil adage, «Si ça saigne, ça prime». Obama a reconnu que c’est beaucoup plus difficile de faire « une histoire sexy» avec le changement climatique ou la réduction de la mortalité infantile.
Mais, en même temps, Obama a dit, « Il est tout à fait légitime que le peuple américain soit profondément préoccupé quand vous avez une bande de fanatiques violents, vicieux et autonomes [sans attaches religieuses], qui décapitent des individus ou tirent au hasard sur un tas de gens dans une épicerie à Paris. Nous y consacrons des ressources énormes et il est juste et approprié que nous soyons vigilants et agressifs dans nos efforts pour traiter de cette question – de la même manière que le maire d’une grande ville se doit de réduire le taux de criminalité s’il veut que sa ville prospère. »
Source partielle: The Jewish Press – Jameel@Muqata – https://www.facebook.com/Muqata
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