lundi 2 mars 2015

Khamenei en phase 4 d’un cancer de la prostate...


Reportage:  Khamenei d’Iran n’a plus que deux ans à vivre


Iranian President Hassan Rouhani visiting Khamenei in hospital. Photo: Mehr news agency.
Le Président Hassan Rouhani rend visite à Khamenei à l’hôpital. Photo: Mehr news agency.
 

PARIS, France – Le Guide Suprême d’Iran, l’Ayatollah Ali Khamenei n’a guère plus de deux ans à vivre, selon les meilleurs pronostics, a révélé le Figaro, samedi, en se fondant sur des sources des renseignements. 
Ce journal indique que le cancer de la prostate dont souffre Khamenei est parvenu au stade 4 et a commencé à se propager dans le reste du corps, selon les sources occidentales des renseignements. 
Le dirigeant, âgé de 76 ans, a été admis à l’hôpital dès septembre dernier pour un traitement du cancer. 
Le Figaro soulève la lourde question de sa succession et d’une probable lutte acharnée au sommet entre les dirigeants du gratin politique, religieux et des membres des gardiens de la révolution iranienne, avant, pendant et après sa mort.
Les médias officiels d’Etat ont régulièrement publié des photos de ce dirigeant tout-puissant à l’agonie sur son lit d’hôpital et après des opérations chirurgicales. 
Les analystes pensent que les publications à propos de son été de santé défaillant sont diffusés avec son approbation. 
Peu de temps après son admission à l’hôpital, l’ancien Ministre des renseignements Ghorbanali Dari Najaf Abadi  a déclaré publiquement : « En tout cas, nous devons commencé à envisager l’ère d’après sa mort » (de Khamenei). 
Khamenei a été élu Guide Suprême en 1989, par le puissant Conseil des Experts, bien qu’il n’en avait pas le niveau requis, juste après la mort de l’Ayatollah Ruhollah Khomeiny, le père de la révolution islamique de 1979, longtemps hôte privbilégié de la France. 
Depuis lors, Khamenei a imposé un contrôle d’une main de fer sur le système nerveux central politique, économique et militaire de l’Iran. 
Lors d’une interview dans le journal Jomhouri Eslami, au début du mois dernier, l’ancien Président Hashemi Rafsanjani faisait allusion au fait que ce ne serait certainement pas facile de lui trouver un remplaçant, à cause d’un contrôle de décennies entières qu’a exercé Khamenei sur les affaires du pays. 
« Si l’Ayatollah Khamenei meurt demain, y a t-il quelqu’un disposant de la même expérience révolutionaire et de la pleine connaissance des affaires du pays, particulièrement des forces armées, pour le rempalcer? » disait-il, selon les passages cités. 
Rafsanjani a déclaré à ce journal que la création d’une « assemblée révolutionnaire » pourrait être la meilleure solution pour diriger le pays, plutôt que de chercher un successeur improbable. 
On pense que Khamenei souffre d’un cancer de la prostate depuis des années et des rapports affirment qu’un hoîtal spécial a été aménagé dans son bastion résidentiel pour pouvoir l’y traiter directement. 
 NDLR : En ce cas, on comprend mal l’acharnement thérapeutique et la précipitation américaine des spin-doctors Kerry et Obama, au chevet de l’Iran, malade de fanatisme apocalyptique, à vouloir absolument signer un traité qui, de toutes les façons, ne sera pas respecté, du seul fait des troubles politiques qui s’annoncent et de l’incertitude totale qui règne sur le nom ou le camp politique de celui qui serait appelé à le remplacer. Ce serait, définitivement, un chèque en blanc, au risque avéré que les plus radicaux reprennent demain les rênes en poursuivant leur hégémonie régionale et les menaces de tirs de missiles intercontinentaux sur les Etats-Unis, l’Europe… 

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