lundi 7 juillet 2014

Le Rabbi et la Terre d’Israel (deuxième partie)

Les prophéties de victoire...



Les guerres, les événements publics, les fluctuations régionales… sur toutes ces questions le Rabbi avait un avis clair qu’il s’est soucié de faire entendre.


 Avant la guerre des 6 jours, le Rabbi a prophétisé sur la victoire à venir tandis que le reste de la planète était saisi de peur. Quand, après la guerre, se sont fait entendre  des  voix qui prônaient le retrait des territoires récemment libérés, le Rabbi a catégoriquement critiqué cette option et a encouragé l’implantation juive sur toutes les parties du territoire Israélien. 


Le Rabbi a vu en ces nouveaux territoires, un cadeau de D… que nous n’avions pas le droit de céder à des étrangers. Il ajouta également que tout retrait ou concession nuiraient à la sécurité du peuple, n’amèneront pas à la paix et ne feront qu’encourager l’ennemi à en réclamer d’autres. Le Rabbi s’est prononcé également sur l’éthique    du pays. Il a demandé d’en renforcer l’identité juive, d’insister sur les valeurs de torah et de morale au sein des systèmes d’éducation et de Tzal. Et en ce qui concerne la loi du retour, il a demandé de la corriger et d’y stipuler que seules les conversions conformes à la Loi Juive pourraient  être reconnues.


Durant la période précédant la guerre de kippour,  le Rabbi a montré de la tension et des signes d’inquiétude. Il citait très souvent le verset dans Tehilims :


 « Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle, tu as fondé Ta Gloire… » et demanda à ce que les enfants se réunissent dans les endroits saints pour prier, que les institutions éducatives et camps de vacances,  se soucient d’inculquer une réelle éducation juive à la jeunesse. 


Dans la traditionnelle bénédiction qu’il a donné le soir de Yom kippour, il a dit « le peule d’Israël gagnera cette guerre » et ce,  à un moment où dans tout le pays régnait une apathie totale. Quand la guerre explosa,  le Rabbi a prophétisé qu’au bout du compte, l’ennemi allait essuyer une grosse perte.


Pour augmenter ses actions sur le pays, le Rabbi a envoyé entre 1976 et 1978,  44  émissaires avec pour mission de s’installer sur la Terre.


Malgré son engagement réel pour tout ce qui concernait la vie des juifs en Israël, le Rabbi a toujours refusé de se mêler à la  politique.


 « Un parti (miflaga)  veut dire diversion (piloug) »,  a expliqué le Rabbi et « Habad, c’est un idéal de réunification ».


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