vendredi 25 avril 2014

Retour de l accusation de crime rituel..


MEMRI Middle East Media Research Institute

Article dans le magazine égyptien : « Les juifs ne peuvent se réjouir pendant leurs fêtes que s’ils consomment de la matza maillée du sang de non-juifs »

A l´occasion de la Pâque juive, la journaliste égyptienne Firnas Hafzi écrit dans un article intitulé « Les sangsues juives de Pâque » que les juifs tuent des non-juifs lors de cette fête et utilisent leur sang pour la préparation des matzot (pain azyme). Citant les chercheurs qui décrivent cette « coutume juive », elle énumère de nombreux cas, recourant notamment à l’accusation de crime rituel de Damas, en 1840. Et d’ajouter que pour se démarquer de ces meurtres, les juifs ont écrit des histoires et réalisé des films sur les vampires, ou encore porté le blâme de leurs crimes sur des fous. Ces meurtres liés à la Pâque , dit-elle, sont « une goutte dans l´océan des crimes juifs dont personne ne sait rien » ; pour Hafzi, des milliers d´enfants et d´adultes disparus dans le monde ont probablement été victimes de ces rituels juifs.

L´article, accompagné de reproductions de peintures et d’illustrations antisémites populaires, a été publié dans le magazine mensuel égyptien Al-Kibar, fondé en juillet 2013, après la chute du régime des Frères musulmans. Le journal contient principalement des articles d’économie, d’art et de société.

L´affirmation selon laquelle les juifs utilisent du sang pour préparer leurs matzot est également relayée par le site Cairodar.com, qui se présente comme le « portail éducatif » du quotidien égyptien Al-Yawm Al-Sabi. Selon un article intitulé « Les juifs suceurs de sang tuent des enfants et les offrent en sacrifice », dont le but est de révéler « la terrifiante vérité sur les juifs », l´un de leurs rituels de Pâque serait la cuisson de matzot avec du sang humain, et les rabbins massacreraient des enfants dans le cadre de rituels de sorcellerie. [1] 

Ci-dessous quelques extraits de l´article de Hafzi : [2]    

Les juifs utilisent du sang pour leurs [fêtes de] Pâque, Pourim, leurs rituels de circoncision et des actes de sorcellerie

« La fête de Pâque, Pessah en hébreu, est considérée comme l´une des fêtes juives les plus importantes. Les Israéliens la célèbrent pour commémorer la sortie d´Egypte sous la conduite de Moïse, et leur libération de la tyrannie de Pharaon à l´époque...

Selon le Livre de la Genèse et le Livre de l´Exode, et leurs commentaires juifs traditionnels, les enfants d´Israël étaient esclaves des Egyptiens. Ils se sont rebellés contre les Pharaons et ont passé 40 ans dans le [désert du] Sinaï jusqu´à leur installation dans le pays de Canaan. Durant leur périple dans le désert du Sinaï, Dieu a donné à Moïse et aux enfants d´Israël ses Dix commandements et fait d´eux un peuple uni. C´est pourquoi beaucoup de juifs attribuent une importance nationale à Pâque, en plus de sa signification religieuse, et la considèrent comme la fête de la liberté ou de la naissance de la nation juive...

Cette fête revêt une importance particulière, du fait que les juifs croient que Dieu lui-même les a conduits et les libérés de l´esclavage. Vu qu´ils ont été contraints de fuir dans la nuit et de se hâter, dans la crainte d’être poursuivis, ils ont dû préparer leur pain précipitamment, avant que [la pâte] ne monte, [c’est ainsi qu’il s’est transformé en] matzot. C´est pourquoi les juifs mangent des matzot au cours de la troisième semaine de Nissan (avril) et organisent des cérémonies sacrées au début et à la fin de la fête, lors desquelles ils offrent des prières et sacrifices.

A une autre étape des célébrations de Pâque, [les juifs] ont allié la préparation des matzot et l´offrande de sacrifices à leur animosité envers les non-juifs, en particulier les chrétiens, et mélangé le sang de leurs victimes à la [pâte de la] matza. [Ils le faisaient] en particulier à Pâque, Pourim et lors des rituels de circoncision. Ils utilisaient également ce sang dans des actes de sorcellerie, comme stipulé dans Isaïe 57, 4-5 : « N´êtes-vous pas des enfants de péché, une race de mensonge, s´échauffant près des térébinthes, sous tout arbre vert, égorgeant les enfants dans les vallées, sous des fentes de rochers ? »

L´incident le plus notoire illustrant comment les juifs ont réussi à répandre le sang de nombreux innocents s’est déroulé le 6 février 1840, quand un moine catholique nommé Toma, un Italien vivant à Damas, a disparu avec son serviteur. Les moines catholiques ont affirmé que les juifs l’avaient abattu, conformément à leurs rites. L’aspect inhabituel de son corps, qui a été retrouvé démembré, indiquait que son sang avait été drainé. Après que le gouverneur [de Damas] Sharif Pasha eut fouillé le quartier juif et capturé sept juifs, le barbier du quartier a avoué avoir abattu le moine, et admis que toute l´affaire avait été [menée à bien] selon les écrits du Talmud sur la nécessité de cuire des matzot avec du sang chrétien ou musulman. Il a également avoué avoir tué le serviteur. Les citoyens, indignés, ont attaqué le quartier juif, brûlé et détruit les synagogues de Damas, Beyrouth et Izmir.

L´historien Josèphe [Flavius​​] a également mentionné que [les juifs] buvaient le sang de leurs victimes, le mélangeaient à la pâte de la matza, et mangeaient également la chair de certaines [de leurs victimes].

L’Allemand Dr Edric Biskof [sic., Erich Bischoff] a également spécifié que l´un des commandements de [la religion] juive est de tuer des étrangers, semblables aux bêtes. Ce meurtre, [écrit-il], doit être accompli dans les règles. Ceux qui n’appartiennent pas à loi religieuse juive doivent être offerts en sacrifice au Dieu Très-Haut. Richard Francis Burton, qui a examiné le Talmud et son attitude à l´égard des non-juifs dans son livre de 1898, Le juif, le Gitan et El Islam, reconnaît en page 81 : ‘Le Talmud cite deux sortes de sang qui réjouissent le Seigneur, à savoir : (1) celui de l´holocauste pascal ; (2) celui de la circoncision’.

Soit le sang de la victime est drainé dans un tonneau percé d’aiguilles, soit la victime est abattue comme un mouton, soit on lui taillade les veines

Le drainage du sang des victimes peut être accompli de [plusieurs façons, notamment] au moyen d´un tonneau percé d´aiguilles. Un tonneau de la taille du corps de la victime, avec des aiguilles pointues qui fixent tous ses membres quand il s’y trouve, de sorte que son sang coule lentement le long de chaque partie de son corps. Cela entraîne un supplice atroce, qui donne du plaisir aux juifs, qui deviennent ivres de joie à la vue du sang s’écoulant du [corps] de la victime au fond du baril et dans un récipient placé pour le recueillir. [Une autre méthode] est d´abattre la victime comme un mouton et de recueillir son sang dans un entonnoir, ou encore de taillader les veines de la victime en de nombreux endroits, de sorte que le sang s’écoule des blessures jusqu’aux récipients. Ensuite, le sang est remis à un rabbin qui prépare une matza maillée de sang humain dans le but de plaire au dieu juif, Jehovah, assoiffé de sang. Les juifs ne peuvent se réjouir lors de leurs fêtes que s’ils mangent de la matza striée du sang de non-juifs.

(…) Nous pouvons comprendre ce qui motive les dirigeants sionistes à tuer des enfants arabes en Egypte, Syrie, Jordanie, Liban et en Palestine. L´ancienne Première ministre d’Israël Golda Meir a affirmé, effrontément : « Chaque fois que j´entends la nouvelle de la naissance d´un enfant arabe, je ne peux fermer l’œil de la nuit ».

Arnold Leese, un Britannique qui a combattu les crimes juifs et la mainmise des juifs sur le monde entier, a énuméré les principaux cas de [victimes] massacrées par les juifs en Occident, à la fois des [cas] très connus et moins connus, dans son livre de 1938, LeMeurtre rituel juif. Voici quelques exemples [tirés du livre] : En 1171 à Blois, en France, au cours de la Pâque juive, le corps d´un jeune homme chrétien nommé Harold a été retrouvé dans la rivière. Son sang avait été drainé à des fins rituelles. Il fut prouvé que les juifs étaient derrière l´assassinat et plusieurs d´entre eux ont été exécutés. En 1192, à Winchester, en Angleterre, au cours de la Pâque , [un autre] jeune homme a été retrouvé crucifié et vidé de son sang. En 1287 à Berne, en Suisse, un enfant du nom de Rudolph a été tué au cours de la Pâque dans la maison d´un juif riche nommé Matlr [sic., Matter]. Les juifs ont avoué le crime et beaucoup d´entre eux ont été exécutés. L´Église a proclamé le garçon saint et martyr, et la ville a fait construire dans le quartier juif la statue d´un juif mangeant un jeune garçon, afin de leur rappeler leurs crimes barbares. En 1462, à Innsbruck, en Autriche, un jeune homme nommé Andreas a été vendu aux juifs, qui l’ont massacré sur un rocher dans la forêt et ont utilisé son sang pour leurs fêtes. Lorsque le crime a été découvert, les juifs ont fui de l’autre côté de la frontière et aucun d´entre eux n’a été jugé. En 1468 à Ségovie, en Espagne, les juifs ont crucifié un enfant chrétien et versé son sang avant la Pâque. L´incident a fait l’objet d’une enquête et un tribunal a condamné plusieurs juifs à mort. En 1881, un juif a voyagé du Caire vers Port-Saïd, est entré dans un café grec avec une jeune femme âgée de moins de 18 ans, et a commencé à l’abreuver d’énormes [quantités] de vin, attirant l´attention du propriétaire du café grec. Le lendemain, la jeune fille a été retrouvée la gorge tranchée. Cet incident avait terrifié les Égyptiens à l´époque.

« Les crimes juifs qui ont été révélés... sont une goutte dans l´océan des crimes juifs dont personne ne sait rien »

[Mais] les crimes juifs qui furent révélés à travers l´histoire, examinés et jugés, sont une goutte dans l´océan des crimes juifs dont personne ne sait rien. Les milliers d´enfants et autres qui disparaissent dans le monde entier sont probablement victimes de rituels juifs. Leur sang se trouve sûrement dans les estomacs juifs avec les matzot des fêtes.

Les juifs ont tenté de nier qu’ils vident les non-juifs de leur sang et l´utilisent pour leurs matzot de fêtes, et continuent de le faire. Rabbi Moussa Abou Afia [l’un des juifs impliqués dans la diffamation de sang à Damas en 1840] s’est converti à l’islam pendant l´enquête sur le [meurtre] du Père Toma, afin d´échapper à la peine. Il a rendu d’importants témoignages sur le Talmud et ses instructions à orientation criminelle et barbare.

S’efforçant de démentir [les crimes juifs], les juifs américains ont écrit des histoires sur les vampires dans les années 1970, pour se dissocier des accusations selon lesquelles ils sucent le sang humain et contournent la justice. A cette époque, ils ont dépensé des millions pour des films sur Dracula, dans le but de tromper l´opinion publique mondiale. Ils ont affirmé que ceux qui massacrent les enfants et les adultes et sucent leur sang sont des fous, et que tout cela n´a rien à voir avec eux et leurs rites religieux. Le 14 février 1964, le magazine [égyptien] Al-Musawwar a publié un article sur les vampires en Colombie après l’assassinat de nombreux enfants [colombiens] dans le but de répandre leur sang. Ni le magazine, ni les enquêteurs colombiens, n’imaginaient que ces vampires pouvaient être des juifs, plutôt que [des gens] qui vendaient du sang aux hôpitaux. »

Notes :
[1] Cairodar.com, 5 avril 2014.
[2] Al-Kibar (Egypte), 14 avril 2014.


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