lundi 1 août 2011

La Fin des Sponsors... Par pitteman-art !


Immoral ou amoral dit le dicton bien connu dans la 'littérature', - non à quatre sous elle -, pour décrire le capitalisme. Ne faisons aucunement de moral est la continuation de la logique, mais de la politique, voir de l'économie. Se rappelle t'on du fait de ce dont ses représentants se sont dit au nom d'une idéologie, celle du libéralisme ou de la social democratie.

Ou celle qui jubile de sa puissance béate éternelle de riches hypocrites sur les pauvres (exploités & taxés) : les chrétiens (?). La solution 'miracle' au problème devenu complexe, voir la potion magique, a été de faire collaborer ses salariés dans des conseils d'administrations. Pensez aux multinationales ou sectes, mais pensez donc aussi à la comptabilité forcée des journalistes actionnaires dans le journal 'Le Monde' par exemple. Le siècle passé Godard en fait son apogée à lui dans l'initiation : une analyse 'syndicale' du post-existentiel, mais essentiel. Depuis internet quelques décennies après tout se ressemble comme le vin, mais là n'est plus la question puisqu'il s'agit de productivité, de gains ou bénéfices (le tabou?) bien entendu, mais de bilans sous rapports épais voir poussièreux pour nous prouver du bidon puisque aucunement la réalité, tout comme les dossiers des magistrats (?), juristes eux, non économes. Souvent le délictueux s'y cache, mais il faut alors des spécialistes pour y voir clair. Le système veut que pour certains les amendes c'est plusieurs millions, mais cela équivaut même pas 1% du chiffre d'affaire.

Je ne sais si c'est unidimensionnel, mais les inspecteurs de finance en Irlande d'il y a deux siècles, cité dans 'Le Capital' de Marx sont plutôt des 'témoignages' (historiques), non des analyses morales globales. Me voilà donc à la recherche d'un sponsor, mais au contraire du siècle passé, il n'y a plus de sponsor. Je contacte donc ma banque, quoi de plus normal n'est-ce pas. Je téléphone au numéro 'claim' sur les papiers de cette banque. Après je ne sais combien de chiffres à faire, répondant aux voix d'ordinateur, j'arrive chez quelqu'un qui me dit que je ne suis pas chez la bonne personne. Je regarde dans le botin mais ne remarque aucun ami. Je téléphone à la maison 'mère' tout en donnant mon numéro de compte en banque et exige le Directeur Général. 'Connaissez vous monsieur J.G.?' est ma question. O vous savez il y a 12 000 agences, tant de collègues, et puis il y a internet. 'Savez vous avoir moi été sponsorisé par la banque pour exposition à Bruxelles et livre publié à Anvers?'.

'Non' ... J'explique pendant dix minutes à cet homme ce dont j'aurais pu dire à mon psychiatre. 'Qui est responsable?' 'Personne (?)'. Et puis... Il y a internet, sans réponse, Fondation ou pas. J'avais cru aussi avoir la possibilité en tant qu'artiste de faire ma propre carte de banque.

J'arrivais donc sur le web 'banking' et je voyais une photo infâme d'une femme avec un couteau dans la gorge, et des dialogues vulgaires: 'tapettes, etc'. J'aimerais savoir en faire part comme avant en 'lettre de lecteur' dans les journaux, mais remarque que l'on ne me publie plus car ces banques financent la presse (Axa (qui ne paye pas), Deutsche Bank, etc.). Que faire donc dans un pays où on n'achète même et surtout plus un bon livre ou une bonne oeuvre d'art. Pourtant à un certain moment de cette grande histoire ce fût une preuve de 'civilisation', de culture pourtant. Comme c'est étrange. C'est donc la fin de beaucoup de choses, sauf celui des écrans puisque aussi la fin de l'être humain en fin de compte. Ou est-ce que je me trompe à ce point? Ecrivez donc vos réactions... nous sommes en democratie, controlée certes, mais pas par moi.

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