NOMBREUX start-ups israéliennes doivent payer des redevances à l'armée , dit Edouard Cukierman , un capital-risqueur à Tel-Aviv . Il est ne plaisantait qu'à moitié . Malgré la récession , les exportations de technologie d'Israël a augmenté de plus de 5 % l'an dernier . M. Cukierman pense le service militaire mérite une part du crédit . L'armée israélienne ne fait pas que former des soldats , dit-il , il nourrit les entrepreneurs .
Les adolescents enrôlés dans les unités de haute technologie acquérir de l'expérience " semblable à un baccalauréat en informatique " , dit Ruvi Kitov , co-fondateur et directeur général de Technologies Tufin , une entreprise israélienne de logiciels . Presque tous les employés de Tufin dans le pays sont , comme M. Kitov lui-même, les anciens combattants des Forces de défense israéliennes ( FDI ) . Une des vaches à lait de l'entreprise est un logiciel qui trouve les serveurs de mails et bloque leurs transmissions . Il est basé sur les technologies de guerre cybernétique FDI que les développeurs d'abord utilisé en tant que soldats .
Armées traditionnelles de forage obéissance aveugle à leurs grognements . Israël encourage la créativité . Un porte-parole des FDI dit qu'il est «très acceptable » pour les soldats à signaler des problèmes et des idées pas à leurs supérieurs. C'est pourquoi les anciens combattants sont happés par start-ups , dit Alan Baker , président de la Chambre Israël-Canada du Commerce à Tel-Aviv . Ils ont également bien faire la collecte de fonds , dit-il, parce que les investisseurs assument l'armée israélienne a déjà éliminées de la malhonnête et irresponsable . Dans d'autres pays , les employeurs comptent sur le parcours du combattant collège d'entrée pour sélectionner les meilleurs et plus brillants . En Israël , Merci à la conscription , la plupart des demandeurs d'emploi se sont attaqués à des cours de véritable obstacle .
Tout comme les Américains , les Israéliens sont prompts à défier l'autorité , dit Shlomo Maital , l'auteur de " Global Risk / Global Opportunity » , un livre de gestion. Dans l'armée israélienne , dont il a été un réserviste pendant près d'un quart de siècle , les soldats sont encouragés à improviser, de peur qu'ils ne perdent l'initiative dans le brouillard de la bataille. Cette culture permet aux entrepreneurs ex - armée de résoudre les problèmes civils , M. Maital dit . Il souligne à Check Point , un développeur de logiciels internet grand - sécurité. Ses fondateurs utilisé pour construire des pare-feu pour protéger les systèmes gérés par des services de renseignement israéliens .
Optibase , une société basée à Herzliya en plus grand de Tel-Aviv , vend de la technologie vidéo . Ses fondateurs se font les dents bricoler avec les technologies vidéo utilisés dans le renseignement de l'armée israélienne et des systèmes d'armes . L'entreprise ne pourrait pas exister sans l'armée israélienne , dit Eli Garten , un vice-président ( qui a commandé 34 soldats dans une agence de renseignement des forces aériennes alors qu'il était 20) . Ironiquement , entreprises de haute technologie tels que le braconnage Optibase sont maintenant des talents de l'armée israélienne avec des salaires plus élevés .
Israeli entrepreneurs
MBAs are for wusses
Military service makes Israeli techies tougher
MANY Israeli start-ups should pay royalties to the army, says Edouard Cukierman, a venture capitalist in Tel Aviv. He is only half joking. Despite the recession, Israel’s technology exports grew by more than 5% last year. Mr Cukierman thinks military service deserves some of the credit. Israel’s army does not just train soldiers, he says; it nurtures entrepreneurs.
Teenagers conscripted into high-tech units gain experience “akin to a bachelor’s degree in computer science”, says Ruvi Kitov, co-founder and chief executive of Tufin Technologies, an Israeli software firm. Almost all of Tufin’s employees in the country are, like Mr Kitov himself, veterans of the Israel Defence Forces (IDF). One of the firm’s cash cows is software that finds spam servers and blocks their transmissions. It is based on IDF cyberwarfare technologies that developers first used as soldiers.
Traditional armies drill unquestioning obedience into their grunts. Israel’s encourages creativity. An IDF spokesman says it is “highly acceptable” for soldiers to point out problems and pitch ideas to superiors. That is why veterans are snapped up by start-ups, says Alan Baker, president of the Israel-Canada Chamber of Commerce in Tel Aviv. They also do well raising money, he says, because investors assume the IDF has already weeded out the dishonest and irresponsible. In other countries, employers rely on the college-entry obstacle course to select the brightest and best. In Israel, thanks to conscription, most job applicants have tackled real obstacle courses.
Like Americans, Israelis are quick to challenge authority, says Shlomo Maital, the author of “Global Risk/Global Opportunity”, a new management book. In the IDF, which he served as a reservist for nearly a quarter of a century, soldiers are encouraged to improvise, lest they lose the initiative in the fog of battle. This culture helps ex-army entrepreneurs solve civilian problems, Mr Maital says. He points to Check Point, a large developer of internet-security software. Its founders used to build firewalls to protect systems run by Israeli intelligence.
Optibase, a company based in Herzliya in greater Tel Aviv, sells video technology. Its founders cut their teeth tinkering with video technologies used in the IDF’s intelligence and weapons systems. The firm might not exist without the IDF, says Eli Garten, a vice-president (who commanded 34 soldiers in an air-force intelligence agency when he was 20). Ironically, tech companies such as Optibase are now poaching talent from the IDF with higher salaries.
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