La Suisse a été envahie comme le reste de l’Europe de l’Ouest, mais elle n’a pas totalement baissé son pantalon ni renoncé à ses valeurs face à l’arrogance de l’islam.
Un couple de musulmans qui réclamait la nationalité suisse s’est vu refuser la bourgeoisie communale, et de facto la naturalisation, par un comité de Lausanne après avoir refusé de serrer la main et de répondre aux questions de personnes du sexe opposé.
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« On a considéré que la question de l’intégration n’était pas acquise », a expliqué Grégoire Junod, maire de la ville.
« Quand on veut la nationalité d’un pays, on doit quand même s’inscrire dans le respect de son ordre juridique et de l’égalité hommes-femmes. »
L’audition du couple, dont la nationalité n’a pas été divulguée, a eu lieu au printemps, mais la décision n’a été rendue publique que vendredi.
Pour l’exécutif, le refus du couple de serrer la main aux membres de la commission des naturalisations de sexe opposé «n’a été qu’un élément fondant la décision municipale». Durant l’audition, les deux individus ont manifesté «un comportement général discriminant». Ils ont par exemple refusé de répondre aux questions de personnes du sexe opposé.
Le vice-maire Pierre-Antoine Hildbrand, qui était l’un des trois membres présents à l’audition, a confié qu’il était « grandement satisfait de cette décision ».
«J’ai auditionné ce couple au printemps avec deux membres de la commission des naturalisations», a déclaré Pierre-Antoine Hildbrand, en charge de la sécurité et de l’économie. «Les deux demandes ont été rejetées par la majorité de la Municipalité sur préavis négatif de ma part.
J’assume totalement d’avoir proposé un refus de naturalisation. La Constitution et l’égalité entre hommes et femmes l’emportent sur la bigoterie », a-t-il ajouté.
«Depuis que je suis municipal en juillet 2016, c’est la première fois que nous disons non».
« Parfois, des procédures sont suspendues. Par exemple, lorsque des candidats ont un niveau de français insuffisant », indique Pierre-Antoine Hildbrand.
«Cette décision est importante, car elle a une portée qui dépasse les frontières de Lausanne», ajoute-t-il. «C’est l’occasion de rappeler l’égalité entre hommes et femmes et de souligner que la Constitution est au-dessus de la bigoterie».
Le couple a 30 jours pour réagir, a expliqué le maire. Trois solutions se présentent à lui : il peut déposer un recours, se présenter une nouvelle fois ou abandonner son projet de naturalisation.
Ce n’est pas la première fois que la Suisse a le courage de s’opposer au politiquement correct et tient bon devant le terrorisme intellectuel de l’extrême gauche immigrationniste.
- En 2016, un collège avait dispensé deux élèves syriens de serrer la main de leurs professeurs femmes, pratique pourtant courante dans les écoles suisses. L’affaire avait fait grand bruit dans le pays et la dispense avait finalement été annulée en mai.
- Un mois plus tard, un père de famille musulman avait été condamné à une amende de 3 700 euros pour avoir refusé d’envoyer ses filles à des leçons de natation avec l’école.
En France, en Isère, il y a quelques mois, le Conseil d’État a confirmé une décision de refus de naturalisation prise par le Premier ministre. En pleine cérémonie d’accueil dans la nationalité française, une ressortissante algérienne avait radicalement refusé de serrer la main du secrétaire général de la préfecture.
Les questions que les médias n’ont pas osé poser, alors qu’elles sont centrales mais dont les réponses pourraient être dérangeante :
- Pourquoi ces personnes veulent-elles la nationalité d’un pays dont ils haïssent la culture, au lieu de migrer dans un des 57 pays musulmans.
- Est-ce raciste de refuser les valeurs occidentales ?
- Les demandeurs de naturalisation sont-ils en situation d’exiger des assouplissements du pays d’accueil, ou doivent-ils modifier leur façon de vivre pour s’adapter ?
- Est-ce islamophobe d’exiger de pieux musulmans de renoncer à vivre selon la loi du coran ?
- Si certaines lois du coran sont en infraction avec celles du pays d’accueil, faut-il explicitement interdire aux musulmans de les appliquer ? Qui aurait le courage de le dire ?
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