Après les précédents dans d’autres armées en Afghanistan, le ministère craint notamment que des soldats radicalisés puissent retourner leur armes contre leurs camarades ou utiliser leur savoir-faire en matière de tirs et d’explosifs dans des actions hors des casernes.
La plupart des anciens militaires devenus jihadistes en Irak et en Syrie, issus pour certains des forces spéciales ou de la Légion étrangère, combattent dans les rangs du groupe État islamique, croit savoir RFI.Canard-enchaîné...
L’un d’eux commande un groupe d’une dizaine de Français qu’il a formés au combat dans la région de Deir Ezzor (nord-est de la Syrie), selon la radio. « D’autres sont experts en explosifs (…) Il s’agit de jeunes d’une vingtaine d’années, certains convertis, d’autres issus de culture arabo-musulmane », indique également RFI sur son site internet. Source
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